Rien ne semble marcher comme il le faut sous le fils Tshisekedi.
A 1 mois de la clôture de la session de Mars, le débat tourne toujours autour de l’audit du fichier électoral, dont l’OIF vient de rejeter la demande de la CENI, jugeant le délai du travail à exécuter irréfléchi.
Le Président de la République a manifesté ses inquiétudes dernièrement si la loi sur la répartition des sièges n’est pas examinée et promulguée durant la session de Mars, le pays court un risque de glissement.
Un expert sous anonymat pense qu’en ce moment faire un travail correctement avec le temps qui reste exigerait la magie et serait un gros mensonge.
Quelle organisation pourrait auditer le fichier électoral avec sérieux pendant 5 jours? s’interroge cet expert.
Rappelant en 2018, l’OIF a fait ce travail pendant plus de 15 jours, soit du 6 au 25 Mai.
Il est clair que petit à petit l’espoir, d’avoir les élections credibles en 2023, s’envole.
La même inquiétude a été émise par Adolphe Muzito, reconnu d’une grande lucidité, lors de son passage sur France24.
La population interviewée à ce sujet , reste catégorique; des bonnes élections et dans le délai.
Qui vivre verra…
Par La Rédaction