Le président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) a été copieusement tabassé au cœur de Paris par un groupe de combattants qui conteste le pouvoir de Tshisekedi.
Dans les images qui circulent sur les réseaux sociaux, on voit le promoteur du groupe de médias Congo Buzz piétiné, roulé à terre, déshabillé par des bandes de combattants.
Proche du président de la République Félix Tshisekedi, Christian Bosembe ne mérite pas un tel traitement filmé et partagé sur la toile. Les Constitutions de la France tout comme celle de la République démocratique du Congo garantissent la liberté d’expression et d’opinion.
La beauté de la démocratie c’est aussi la contradiction. Les avis sont toujours divergents sur tel ou tel fait. Cela ne constitue aucunement une raison pour infliger l’humiliation à Christian Bosembe, prophète infatigable de la lutte contre l’insalubrité médiatique en République démocratique du Congo.