RDC : 11 prouesses majeures de l’IGF en quatre ans sous Jules Alingete

Depuis sa redynamisation il y a quatre ans par le président de la République Félix Tshisekedi, l’Inspection Générale des Finances (IGF), dirigée par Jules Alingete, a réalisé des prouesses impressionnantes dans le domaine du contrôle des finances publiques. Malgré les attaques répétées de la part des gestionnaires véreux et autres prédateurs, l’IGF s’est imposée comme un acteur clé dans la lutte pour la bonne gouvernance et la transparence financière en République démocratique du Congo (RDC). Voici les onze prouesses majeures accomplies sous la gestion de Jules Alingete.

1. Performance des recettes budgétaires : L’IGF a joué un rôle central dans l’amélioration des recettes budgétaires grâce à ses missions d’encadrement et de contrôle des régies financières à travers le pays. Les résultats notables incluent la suppression des exonérations illégales, d’importants redressements fiscaux, et une fiscalisation accrue des prestataires du Trésor public.

2. Accroissement du budget de l’État : Le budget de l’État a connu une augmentation significative entre 2021 et 2024, marquant une gestion plus rigoureuse des finances publiques.

3. Discipline budgétaire : La gestion des dépenses a été encadrée avec une stricte discipline, notamment à travers l’application du principe de « gestion à base caisse » et le suivi rigoureux du Compte général du Trésor.

4. Gestion transparente : L’IGF a instauré une gestion prévisionnelle obligatoire avec des outils tels que le plan de trésorerie et le budget annuel, favorisant une transparence accrue.

5. Amélioration de la trésorerie publique : L’économie des dépenses non validées par l’IGF a permis de réaliser plus de 1,6 milliard USD en économies entre juin et décembre 2023, renforçant la trésorerie des entreprises et établissements publics.

6. Apurement des arriérés salariaux : La quasi-totalité des arriérés de salaires a été apurée, réduisant ainsi les conflits sociaux et instaurant un climat de sérénité au sein des entreprises publiques.

7. Impacts positifs sur la trésorerie des provinces : L’apurement des arriérés salariaux a également été bénéfique pour les provinces et les Entités Territoriales Décentralisées (ETD), améliorant leur trésorerie.

8. Mise en accusation des auteurs de malversations : L’IGF a restauré la « peur du gendarme » en mettant en accusation les mandataires responsables de malversations financières, renforçant ainsi la redevabilité dans la gestion des fonds publics.

9. Révision du Contrat chinois : La révision du Contrat chinois a permis de dégager un financement exceptionnel de plus de 7 milliards USD pour la construction d’infrastructures routières et autres.

10. Réalisation d’économies : Des économies notables ont été réalisées sur les crédits de TVA à rembourser aux entreprises minières et grâce à l’annulation des contrats de production de la carte d’identité nationale.

11. Lancement de grands travaux : Enfin, l’IGF a permis le lancement de grands travaux d’infrastructures grâce aux ressources propres de l’État, relançant progressivement la croissance économique et renforçant la crédibilité internationale de la RDC dans la lutte contre la corruption.

Ces réalisations placent l’IGF sous la gestion de Jules Alingete au cœur des réformes financières et de la lutte pour la transparence en RDC, contribuant ainsi à la modernisation et à la redynamisation de la gestion publique du pays.

GNM