Après son court séjour en Europe , de passage sur la radio Top Congo face à son homo Christian Lusakweno, Christian Bosembe propose quelques pistes de solution pour mettre fin à ce phénomène combattants avec agressions des officiels.
Parmi ces pistes, Christian Bosembe propose le dialogue avec les combattants.
“(…) il faut dialoguer, les écouter (…) avec possibilité d’accéder à leurs recommandations. Ce sont ceux qui sont blessés, qui blessent souvent”, a affirmé Christian Bosembe.
A la question de savoir si son agression à Paris a affaibli sa détermination, Bosembe estime pardonne d’abord ses agresseurs.
“Mon cœur n’a pas de place pour la haine et mon esprit n’a pas de place pour la rancune”, précise le Président du CSAC.
Et d’ajouter,
“Ce n’est pas l’individu Christian Bosembe qui a été agressé, plutôt la RDC. Je suis un officiel, j’ai porté plainte à titre indicatif, c’est à la République de faire quelque chose. Je souhaite que je sois le dernier officiel a être agressé, si pas le dernier Congolais”.
Avant de finir , Christian Bosembe révèle qu’il a prêté un serment d’ingratitude vis à vis du Président de la République étant Président du CSAC, bien qu’il est fier d’être bénéficiaire d’une ordonnance de Félix Tshisekedi.
Rappelons que lors de son séjour dans l’espace schengen pour rechercher et consolider des partenariats, Christian Bosembe était victime d’une agression à Paris par quelques Congolais intolérants, dont la vidéo était devenue très virale sur la toile.