Albert Mukulubundu est le chargé des relations extérieures et Porte Parole du Parti politique Nouvel Elan/LAMUKA. Cette bête politique rompue dans l’analyse stratégique
porte le numéro 333, comme candidat du Parti Nouvel Élan à la législature nationale, dans la circonscription électorale d’Idiofa, pour les élections du 20 décembre prochain en RDC.
Deuxième territoire le plus peuplé de la RDC après celui de Lubero dans le Nord Kivu, le territoire d’Idiofa est situé dans la province du Kwilu. Après l’enrôlement des électeurs, cette circonscription électorale dispose maintenant de 6 sièges à la députation nationale et 9 sièges à celle provinciale. Par rapport à la configuration de la législature finissante, elle a donc perdu un siège à la députation nationale et deux à la députation provinciale.
Avec un carnet d’adresses politiques bien fourni, à l’intérieur, comme à l’extérieur du pays, il affrontera les candidats de l’Union Sacrée, coalition au pouvoir, qui n’auront pas du tout le pain sur la planche, eu égard aux 5 ans de leur mandat catastrophique à la tête du pays.
Pour la petite histoire, entre M. Albert Mukulubundu et l’ancien Premier ministre Adolphe Muzito, le président du Nouvel Elan, ce n’est pas seulement une relation de proximité idéologique patriotique, mais aussi celle d’une lutte qui remonte à plusieurs années.
Initié dès le bas âge par son défunt père à la donne politique cet homme de combat a déjà été conseiller politique au cabinet du vice président Yerodia Abdoulaye Ndombasi, et au cabinet du premier ministre Adolphe Muzito, outre tant d’autres fonctions politiques occupées dans le passé.
En 2012, ce politicien de gauche prend ses distances vis-à-vis des dirigeants au pouvoir dans son pays et pose ses valises en France. Depuis, cet homme de gauche a tissé beaucoup de liens avec les milieux progressistes et institutionnels occidentaux et d’autres continents.
Quoiqu’il entraîtenait à l’époque, dans le cadre de l’opposition, d’excellentes relations avec Félix Tshisekedi, alors candidat de l’UDPS à la magistrature suprême, il avait préféré oeuvré aux côtés d’Adolphe Muzito dans les tractations ayant abouti à la désignation du candidat commun de l’opposition à Genève, avant les élections de 2018 en RDC, celles-là même qui avaient conduit au hold-up électoral.
Aujourd’hui, il est avec tant d’autres cadres de son parti à être la cible des attaques du pouvoir en place, voire de l’aile dissidente de LAMUKA, après l’éclatement de cette plateforme de l’opposition congolaise, parce que redoutant tous sa perspicacité politique.
Profitant des son positionnement politique à l’intérieur et à l’extérieur du pays, Albert Mukulubundu a à plusieurs reprises initié et obtenu des projets en faveur de la population d’Idiofa, en l’occurrence les financements de la construction d’une bibliothèque scolaire, d’un centre de santé, et des forages d’eau potable dans différents secteurs de ce territoire, sans oublier sa lutte farouche pour la mécanisation des enseignants, l’octroi d’un appareil de radiologie à l’hôpital général de ce territoire, ainsi que l’encadrement des organisations paysannes, avec notamment la fourniture gratuite des tôles et des matériels agricoles comme les houes, bêches, etc.
Son parti, Le Nouvel Elan, se classe maintenant parmi les organisations politiques de l’opposition congolaise les mieux implantées dans le territoire national, et son leader, Adolphe Muzito, se distingue d’autres candidats à l’élection présidentielle par ses prises de positions, son expertise et ses propositions fort pertinentes, pour sortir le Congo du cycle infernal de la pauvreté. Ses compatriotes gardent de lui l’image du chef de gouvernement qui avait pendant plusieurs années stabilisé le taux de change du dollar américain par rapport à la monnaie nationale, à son passage à la Primature. Sa déclaration du 20 décembre 2019, appelant à faire la guerre contre le Rwanda, qui déstabilise en permanence la sécurité à l’est de la RDC, l’a hissé au rang des patriotes décidés à protéger l’intégrité territoriale de son pays.
Il sied de mentionner ici que le candidat du Nouvel Élan à la circonscription électorale d’Idiofa se positionne comme le challenger le plus déterminant pour les prochaines élections dans ce territoire. En effet, la plupart de députés sortants FCC ayant migré vers l’Union Sacrée, qui entraînent derrière eux un bilan infructueux de deux ou trois mandats parlementaires, sont systématiquement désavoués par la population locale, qui tient à la désignation par voie des scrutins de nouveaux représentants aux différentes assemblées législatives. Ces derniers auront pour mission de mettre en place une nouvelle politique publique devant résoudre les problèmes auxquels elle est confrontée. En tout cas, les masses paysannes et laborieuses ne veulent plus de ces caciques ayant accumulé plusieurs mandats aux bilans négatifs, qui n’ont servi qu’à assouvir leurs propres égos.
A cet effet d’ailleurs, les observateurs de la scène politique congolaise savent que d’une manière générale la Ville-province de Kinshasa, le Kongo central et le grand Bandundu votent toujours pour le changement. Compte donc tenu de la situation socio-économique chaotique du pays, l’actuelle majorité au pouvoir n’aura pas d’arguments valables pour faire face à l’implacable machine de Nouvel Elan dans la province du Kwilu et ailleurs, à moins de recourir, comme on le craint déjà, à la fraude électorale.
Albert Mukulubundu affrontera l’union sacrée.
[28/10, 10:22] GL Gramic: Élections 2023: Albert Mukulubundu, l’une des figures de l’opposition en RDC est candidat aux législatives à Idiofa
Albert Mukulubundu est le chargé des relations extérieures et Porte Parole du Parti politique Nouvel Elan/LAMUKA. Cette bête politique rompue dans l’analyse stratégique
porte le numéro 333, comme candidat du Parti Nouvel Élan à la législature nationale, dans la circonscription électorale d’Idiofa, pour les élections du 20 décembre prochain en RDC.
Deuxième territoire le plus peuplé de la RDC après celui de Lubero dans le Nord Kivu, le territoire d’Idiofa est situé dans la province du Kwilu. Après l’enrôlement des électeurs, cette circonscription électorale dispose maintenant de 6 sièges à la députation nationale et 9 sièges à celle provinciale. Par rapport à la configuration de la législature finissante, elle a donc perdu un siège à la députation nationale et deux à la députation provinciale.
Avec un carnet d’adresses politiques bien fourni, à l’intérieur, comme à l’extérieur du pays, il affrontera les candidats de l’Union Sacrée, coalition au pouvoir, qui n’auront pas du tout le pain sur la planche, eu égard aux 5 ans de leur mandat catastrophique à la tête du pays.
Pour la petite histoire, entre M. Albert Mukulubundu et l’ancien Premier ministre Adolphe Muzito, le président du Nouvel Elan, ce n’est pas seulement une relation de proximité idéologique patriotique, mais aussi celle d’une lutte qui remonte à plusieurs années.
Initié dès le bas âge par son défunt père à la donne politique cet homme de combat a déjà été conseiller politique au cabinet du vice président Yerodia Abdoulaye Ndombasi, et au cabinet du premier ministre Adolphe Muzito, outre tant d’autres fonctions politiques occupées dans le passé.
En 2012, ce politicien de gauche prend ses distances vis-à-vis des dirigeants au pouvoir dans son pays et pose ses valises en France. Depuis, cet homme de gauche a tissé beaucoup de liens avec les milieux progressistes et institutionnels occidentaux et d’autres continents.
Quoiqu’il entraîtenait à l’époque, dans le cadre de l’opposition, d’excellentes relations avec Félix Tshisekedi, alors candidat de l’UDPS à la magistrature suprême, il avait préféré oeuvré aux côtés d’Adolphe Muzito dans les tractations ayant abouti à la désignation du candidat commun de l’opposition à Genève, avant les élections de 2018 en RDC, celles-là même qui avaient conduit au hold-up électoral.
Aujourd’hui, il est avec tant d’autres cadres de son parti à être la cible des attaques du pouvoir en place, voire de l’aile dissidente de LAMUKA, après l’éclatement de cette plateforme de l’opposition congolaise, parce que redoutant tous sa perspicacité politique.
Profitant des son positionnement politique à l’intérieur et à l’extérieur du pays, Albert Mukulubundu a à plusieurs reprises initié et obtenu des projets en faveur de la population d’Idiofa, en l’occurrence les financements de la construction d’une bibliothèque scolaire, d’un centre de santé, et des forages d’eau potable dans différents secteurs de ce territoire, sans oublier sa lutte farouche pour la mécanisation des enseignants, l’octroi d’un appareil de radiologie à l’hôpital général de ce territoire, ainsi que l’encadrement des organisations paysannes, avec notamment la fourniture gratuite des tôles et des matériels agricoles comme les houes, bêches, etc.
Son parti, Le Nouvel Elan, se classe maintenant parmi les organisations politiques de l’opposition congolaise les mieux implantées dans le territoire national, et son leader, Adolphe Muzito, se distingue d’autres candidats à l’élection présidentielle par ses prises de positions, son expertise et ses propositions fort pertinentes, pour sortir le Congo du cycle infernal de la pauvreté. Ses compatriotes gardent de lui l’image du chef de gouvernement qui avait pendant plusieurs années stabilisé le taux de change du dollar américain par rapport à la monnaie nationale, à son passage à la Primature. Sa déclaration du 20 décembre 2019, appelant à faire la guerre contre le Rwanda, qui déstabilise en permanence la sécurité à l’est de la RDC, l’a hissé au rang des patriotes décidés à protéger l’intégrité territoriale de son pays.
Il sied de mentionner ici que le candidat du Nouvel Élan à la circonscription électorale d’Idiofa se positionne comme le challenger le plus déterminant pour les prochaines élections dans ce territoire. En effet, la plupart de députés sortants FCC ayant migré vers l’Union Sacrée, qui entraînent derrière eux un bilan infructueux de deux ou trois mandats parlementaires, sont systématiquement désavoués par la population locale, qui tient à la désignation par voie des scrutins de nouveaux représentants aux différentes assemblées législatives. Ces derniers auront pour mission de mettre en place une nouvelle politique publique devant résoudre les problèmes auxquels elle est confrontée. En tout cas, les masses paysannes et laborieuses ne veulent plus de ces caciques ayant accumulé plusieurs mandats aux bilans négatifs, qui n’ont servi qu’à assouvir leurs propres égos.
A cet effet d’ailleurs, les observateurs de la scène politique congolaise savent que d’une manière générale la Ville-province de Kinshasa, le Kongo central et le grand Bandundu votent toujours pour le changement. Compte donc tenu de la situation socio-économique chaotique du pays, l’actuelle majorité au pouvoir n’aura pas d’arguments valables pour faire face à l’implacable machine de Nouvel Elan dans la province du Kwilu et ailleurs, à moins de recourir, comme on le craint déjà, à la fraude électorale.
Albert Mukulubundu affrontera l’union sacrée.