La visite de Félix Tshisekedi en Chine, après 5 ans de règne où il comptait sur les USA sans pourtant arracher ne fut ce qu’une audience personnelle à la maison blanche, révèle que Joe Biden est loin d’être intéressé par le régime Tshisekedi.
Plusieurs autres indices le démontrent également, notamment tout récemment après la marche du 20 Mai de l’opposition, les USA, à travers son ambassade à Kinshasa,ont condamné la répression disproportionnée, barbare et dictatoriale du pouvoir Tshisekedi face à son peuple et les restrictions de libertés fondamentales aux opposants.
Les USA ne cessent également de tonner pour des élections libres, transparentes et dans le délai en RDC; ce qui visiblement dérange le pouvoir Tshisekedi.
Cinq ans au pouvoir, Tshisekedi et son régime ne vantaient que son partenaire privilégié les USA, rendant l’ancien ambassadeur des USA en RDC Mike Hammer pratiquement comme un vice-président du pays de Lumumba, à la grande déception du peuple; malheureusement aucun résultat palpable après toute cette flatterie à l’égard du pays de l’oncle Sam.
Lors de vote au niveau de l’ONU, pour sanctionner la Russie dans sa guerre avec Ukraine, le gouvernement Tshisekedi a opté pour ces sanctions, justement pour plaire aux USA.
Après avoir compris, en retard comme toujours, le désintéressement de Joe Biden face à leur pouvoir, les dirigeants actuels de Kinshasa vont vite en Chine , tout refusant même l’autonomie de Taïwan, affirmant que celui-ci appartiendrait à la PRC; en contraction avec son ancien partenaire les USA qui sont en froid avec la Chine à cause notamment de ce petit état insulaire.
Donc, il est clair que les USA de Joe Biden tournent le dos à Tshisekedi et pour se consoler le régime va vite en besogne et précipitation vers la Chine.
Selon plusieurs experts, la politique du tâtonnement et essai-erreur caractérise la gestion actuelle en RDC sous Tshisekedi.
Par La Rédaction