Le communiqué du Front Commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila, qui accuse le pouvoir actuel d’intolérance, de corruption et d’incapacité à répondre aux attentes du peuple, révèle un manque de mémoire sélectif et un refus d’assumer la responsabilité des échecs passés.
Depuis l’avènement du Président Félix Tshisekedi, des efforts sans précédent ont été déployés pour instaurer l’État de droit, lutter contre la corruption et promouvoir une gouvernance transparente, malgré les défis hérités du passé. Les réformes en cours, bien que difficiles, sont la preuve d’une volonté ferme de répondre aux attentes légitimes du peuple congolais, et non de masquer un prétendu déficit de légitimité.
Le pouvoir actuel ne se laisse pas distraire par les critiques non constructives, mais reste concentré sur l’essentiel : améliorer les conditions de vie des Congolais et bâtir un avenir meilleur pour la République Démocratique du Congo. Toute opposition qui souhaite contribuer de manière constructive est la bienvenue, mais les tentatives de réécrire l’histoire et de semer la confusion ne peuvent que desservir notre pays.
Thierry Monsenepwo