Pour parler du président de la République Félix Tshisekedi, il faut réfléchir à deux fois, tourner sept fois ses doigts au-dessus de son clavier, bien choisir ses mots et faire une autocensure. Cette incrimination est une atteinte au droit des citoyens de s’exprimer clairement et librement.
En effet, le journaliste Patrick Lokala est activement recherché par le parquet pour une affaire d’offense au Chef de l’État. Contacté, le confrère dit être victime du régime Tshisekedi qui ne supporte plus toute voie discordante.
Il y’a lieu de noter que, après plusieurs doléances de la population, impossible de fermer les yeux face à cette misère crapuleuse que vit le peuple congolais sous Félix Tshisekedi, le journaliste Patrick Lokala a pris l’engagement comme tout journaliste professionnel et sérieux de ne pas maquiller la vérité et la réalité pour plaire au pouvoir en place; ce qui lui attire désormais la colère du régime Tshisekedi et leurs acolytes.
Imperturbable, très serein, en clandestinité où il se trouve, Patrick Lokala révèle que rien ne peut ébranler sa détermination à accompagner le peuple congolais qui souffre dans leur corps et leur âme.
Un exercice pourtant normal dans un État dit de droit où la liberté d’expression est garantie par la Constitution de la République démocratique du Congo.
Malheureusement, quand après 37 ans de lutte, impossible d’inculquer cette notion, on plonge dans la démocrature.
Rappelons que, Lors de son court séjour à Kinshasa, le Président Macron de la France à rappelé, devant Félix Tshisekedi, qu’il faille laisser la presse faire librement son travail, dénoncer les dérives, comme ça se fait sous d’autres cieux, dans tout état démocratique.
Et au début de son pouvoir, Tshisekedi avait promis de faire La Presse un véritable 4ième pouvoir sous son régime; malheureusement.
Par GNM
