Massacre diurne des militants de l’UNAFEC à Lubumbashi : l’organisation de droits de l’homme CEIPDHO accuse Jacques Kyabula de vouloir dénaturer les faits

L’Organisation de Droits de l’homme, CEIPDHO ainsi que plusieurs acteurs de la société civile épris par le respect des droits humains se disent être très préoccupés par le massacre diurne qui a eu lieu à Lubumbashi dans la Province du Haut Katanga au Pont Moise séparant le Quartier Bongonga et Navuindu.

Contrairement aux rumeurs qui courent de partout, ces acteurs de la société civile démentent qu’il n’y avait pas eu altercation entre les l’UNAFEC et les combattants de l’UDPS.

Le CEIPDHO alerte en urgence absolue l’opinion tant nationale qu’internationale, notamment les partenaires de l’Etat Congolais signataires des instruments juridiques tant régionaux qu’internationaux relatifs aux Droits Humains, qu’un document est entrain d’être élaboré dans les officines du Gouvernorat de la Province du Haut-Katanga, pour presenter a la face du monde une autre version dans le sens à vouloir dénaturer les faits.

Unis comme un seul homme, les acteurs de la société civile de cette structure estiment que “cette pillule amer de mensonge ne passera pas et ne passera pas”.