Tension au sein de la majorité au pouvoir, après la fin du gouvernement Sama 1. Tous les partis politiques ont été contraints à renouveler leur adhésion et leur engagement envers la Haute autorité, évidemment Félix.
Cette injonction, une stratégie pour dissoudre plusieurs regroupements politiques formant l’USN au départ, afin de fragiliser les leaders qui avaient de regroupements politiques lourds capables de faire chanter le régime.
Après ce renouvellement des adhésions, chaque parti politique devenait libre de faire ses alliances au sein de l’USN, donc avec possibilité de quitter le regroupement politique du depart pour faire allégeance directement à Tshisekedi.
Dans ce lot, la victime c’est l’Afdc-A de Bahati, qui voit ses alliés le quitter pour dépendre directement de Félix Tshisekedi ; le cas de Adèle Kayinda et son parti.
“Diviser pour mieux régner”, dit-on, cette pratique dont les injonctions sont venues de la Haute hiérarchie n’est pas appréciée, bien que tout est fait déjà. Plusieurs se sentent trahis déjà par la haute autorité morale.
S’approchant à la rédaction de verite.cd , plusieurs ténors de l’USN ne maîtrisent plus à quoi joue Félix Tshisekedi à 8 mois des élections générales.
Ce malaise qui semble être bien organisé par Félix Tshisekedi et ses proches servirait le pouvoir à un pas de la Présidentielle ou risque d’une implosion, car le doute entre ces leaders des anciens grands regroupements politiques composant à la genèse l’USN et Felix Tshisekedi s’installe ? Qui vivra verra.
