Si par bonne foi, Tshisekedi pourrait avoir un semblant bilan, ce serait son reflex de placer Jules Alingete comme gendarme financier, avec un peu plus de pouvoir et d’indépendance que sous ses prédécesseurs.
La RDC, un pays ruiné,au plus profond d’elle, par la corruption, le népotisme et le favoritisme.
Jules Alingete, l’homme a su prouver qu’il ne suffisait que d’une petite volonté et l’on pourrait compter sur un congolais pour développer sa nation.
Son génie dans l’art a traversé le continent et les frontières, où il est reconnu et primé comme champion de la lutte contre la corruption. Jules Alingete n’a pas seulement eu, de la part du régime Tshisekedi, l’exploit d’une justice élevant une nation.
Ce bémol , qui a fragilisé le dynamisme et le patriotisme du Chef de service IGF dans son travail, a terni encore l’image du pays et par voie de conséquence noircit davantage le bilan de Tshisekedi.
Si par miracle, un deuxième mandat Tshisekedi était favorable, le régime doit penser maintenir Jules Alingete et appliquer des réformes au niveau de l’appareil judiciaire pour un duo qui permettra au régime de sortir par la grande porte après un premier mandant chaotique.
Certes, tous les détourneurs ont regagné paisiblement leur toit après la condamnation et la plupart pas inquiétés, à cause de la justice médiocre, mais Jules Alingete a su changer le narratif en RDC, au point qu’on ne peut plus parler des intouchables.
