RDC : Katumbi et Matata condamnent les actes de barbaries et d’intolérance politique à l’endroit de Sesanga et demandent qu’une enquête soit ouverte par les autorités pour identifier les auteurs

Dans un communiqué publié, Moïse Katumbi et Matata rappellent à l’attention de l’ensemble du peuple congolais et de la communauté internationale sur des faits de violence qui deviennent récurrents dans le pays au point de créer un climat délétère en cette période pré-électorale.

Dans ce document dont la rédaction de verite.cd a obtenu une copie, Moïse Katumbi et Matata indiquent que la liberté d’expression et le droit de libre circulation étant garantis par la Constitution et les lois de la RDC ainsi que par les instruments juridiques internationaux dûment ratifiés par l’Etat congolais, l’honorable Delly SESANGA, les membres de son parti politique ainsi que les journalistes qui l’ont accompagné ont droit d’en jouir pleinement sans aucune entrave comme tous les autres compatriotes.

Dans ces moments difficiles que traverse la RDC, Moïse Katumbi et Matata Ponyo condamnent ces actes de barbaries et d’intolérance politique à l’endroit de Président d’ENVOL et sa délégation et demandent qu’une enquête soit ouverte par les autorités en charge de la sécurité publique pour en identifier les auteurs et commanditaires, afin qu’ils soient traduits devant la justice et fermement sanctionnés.

Ces deux leaders de l’opposition expriment leur compassion à l’honorable Delly SESANGA, aux journalistes ainsi qu’à l’ensemble de son équipe d’accompagnement.

Le duo Katumbi-Matata dit constater que la recrudescence des actes de violence a mené jusqu’à l’ignoble assassinat de Chérubin OKENDE. Moïse Katumbi et Matata Ponyo affirment n’avoir pas compris que les partisans de la violence ne désarment pas et donnent à penser qu’ils sont déterminés à aller le plus loin encore dans leur entreprise criminelle pour installer la terreur dans le pays dans cette période pré-électorale.

Au regard de l’insécurité grandissante à l’encontre des candidats Présidents de la République et leurs proches entourages, Moïse Katumbi et Matata Ponyo réitérent de manière insistante auprès de la MONUSCO, la plus haute représentation de la communauté internationale en RDC leur demande d’un dispositif sécuritaire approprié pour desdits candidats durant la période électorale.

Par GNM